Proverbe N°2
Quand on voit une fouine emballer une tablette de chocolat et qu'on entend les clarines, il est l'heure d'aller se coucher.
Quand on voit une fouine emballer une tablette de chocolat et qu'on entend les clarines, il est l'heure d'aller se coucher.
Non mais quelle fouine ! Nous fouinions gaiement, comme à l'accoutumée, en joyeuse companie et faisant bonne fouine comme toujours...quand l'ami K se lança dans une fouine invraisamblable. Il nous narrait avec forces gestes et mimiques une sarabande de fouines qui fouinaient furieusement dans un délire fouinesque. Et nous, effarés, nous avions quelque peine à suivre cette fouineuse aventure et à déguster sans en perdre une miette un fouineux risotto dont le fumet nous chatouillait agréablement les fouines. Ce n'est qu'au yoghurt de fouines que nous avons pu faire une courte pause dans ce fou-rire fouinissime qui nous a fait fouiner les zygomatiques à fouine allure. Et la narration fouinesque a continué son train de fouine, toujours plus fouineuse, atteignant des fouineux sommets, s'apaisant un moment comme pour mieux pour relancer le fouine toujours plus fort, toujours plus haut, dans une sorte de jeu forain de montagnes russo-fouines. Si nous avons tenu le coup, nous tenant les côtes, c'est grâce aux nectars de fouine dont le grand F nous a abreuvé pour nous permettre de fouiner ainsi jusqu'à une heure avancée de la nuit. A quel grand moment de fouine !
Ce petit animal fouineur est à l'origine d'un très long fou-rire qui restera dans les annales. Souhaitons-lui longue vie !